Un vent nouveau souffle dans le paysage des bières lambics ! En effet, la mort subite, cette bière si intrigante débarque en France avec ses deux nouvelles créations : Witte & Kriek ! Ces 2 p’tites nouvelles sont mises en bouteille à quelques kilomètres de Bruxelles, dans une ancestrale brasserie assurant une bière atypique tout droit venue du Royaume de Belgique !
La Witte Lambic
Pleine de blé, lambic et blanche. Optez pour la witte.
Pour cette version de la Mort Subite, Bruno Reinders, le maitre brasseur perpétue un procédé de fabrication natuel et aléatoire à base de jeunes lambics fruités pour créer une bière blanche au goût aussi inatendu qu’agréable en bouche. Une combinaison que sa robe jaune pâle et son trouble, associé avec sa tête blanche et crémeuse illustre parfaitement.
Mon avis : c’est une bière inédite et très rafraîchissante, qui marie délicieusement les saveurs gourmandes aux légères touches acidulées du lambic pour un goût surprenant. La Witte Lambic est pour moi le choix de l’atypique authentique.
La Kriek Lambic
La cerise audacieuse… Soyez éclectique… Et choisissez la Kriek !
Pour la création de la Mort Subite Kriek Lambic, Bruno (oui, vous le connaissez maintenant Bruno non ? ;)) a choisi de façonner une bière aromatisée à la cerise. Le lambic présent dans cette bière est un mélange se composant de lambic jeune, de lambic vieilli d’un an avec les cerises de la saison et d’un lambic vieilli dans un chêne pendant trois ans.
Mon avis : les sensations en bouche sont fines et douces, avec une petite touche complexe amenée par le côté sucré de la cerise qui contraste délicieusement l’acidité du lambic. La Kirek Lambic est pour moi le choix de l’atypique éclectique.
À propos de la Mort Subite
Mort subite, la belle histoire d’un coup de dé.
Le nom pour le moins peu commun de Mort Subite est né dans un bar bruxellois appelé « La cour Royale ». Vous connaîtrez sûrement si vous êtes du coin.. bein, c’est là que fut trouvé ce nom dans les années 1920 et j’espère vous l’apprendre :p
Ok, mais pourquoi ?
Le proriétaire de ce bar, Théophile Vossen s’adonnait avec ses clients à des parties de jeu de dé (le Pietjesback, ancêtre du 421). Lors de la -der des ders-, les participants s’égosillaient en pronoçant « Mort Subite », l’ultime coup qui permettrait de mettre fin à la partie et d’avoir un vainqueur. Passionné par ce jeu de dé, Théophile Vossen décide alors d’élaborer sa propre bière qu’il nommera bien évidemment, vous l’aurez compris… Mort Subite !