Envie de trouver une nouvelle activité et la pratiquer avec votre famille ou vos amis ? Partez à la découverte de ces 5 sports innovants à tester en été, qui ont déjà fait leur entrée dans le paysage sportif ! Avec leurs variantes de jeux adaptables, vous aurez beaucoup de possibilités et d’expériences de jeu. Pour chacun d’eux, voici leur histoire, leurs règles et leurs avantages ! Lequel allez-vous essayer en premier ?
1. Le kin ball : le sport innovant à tester en été qui va vous faire bouger sans relâche !
Les prémisses du kin ball
Le kin ball a été inventé au Québec par Mario Demers en 1986. Exerçant en tant qu’éducateur sportif, il remarque que la motivation des jeunes élèves s’enlise dans la pratique d’une activité sportive. Pour lutter contre l’obésité et la sédentarité, il crée un sport d’un nouveau genre où la communication, la cohésion et l’esprit d’équipe sont essentiels.
L’origine étymologique du kin ball vient du latin « omni » qui signifie « tout » et du grec « kin » qui veut dire « l’homme en mouvement ». Cet exercice physique, mobilisant toutes les parties du corps, contraint tous les joueurs à bouger de manière continue.
Quelles sont les règles officielles du jeu ?
Pour jouer à ce jeu, il vous faudra :
- un terrain de 21 mètres carrés ;
- 3 équipes de 4 joueurs ;
- 1 arbitre ;
- des chasubles de 3 couleurs différentes ;
- 1 gros ballon type baudruche de 1,22 mètre de diamètre et pesant moins de 1 kg.
Le but du jeu est d’empêcher le ballon, une fois lancé en l’air, de toucher le sol :
- L’équipe offensive, qui tient le ballon au début de la partie, doit le lancer rapidement en prononçant le mot « Omnikin », suivi de la couleur de l’équipe adverse.
- L’équipe défensive, qui a été appelée pour récupérer le ballon, doit le rattraper avant qu’il ne touche le sol, en utilisant toutes les parties du corps.
Au début du jeu, il y a une équipe qui attaque et deux autres qui défendent. Retenez simplement que les équipes concurrentes, chargées de maintenir la défense, ne jouent pas en même temps.
Au moment où une équipe récupère la balle sans avoir touché le sol, celle-ci devient attaquante. Avant d’engager une nouvelle manche, tous les membres doivent toucher la balle et disposent de 5 secondes pour désigner un adversaire. La manche est décisive lorsque le ballon touche le sol. Dans ce cas, une équipe est déclarée perdante et les deux autres gagnent 1 point.
Le match de kin ball se divise en 4 périodes de 11 points et se déroule de la façon suivante :
- Dans une période, chaque manche dure une dizaine de secondes.
- Dès qu’une première équipe arrive à 9 points, elle concourt contre celle qui a totalisé le deuxième meilleur score.
- La troisième équipe sort du terrain.
- Les deux équipes jouent les deux derniers points.
- Celle qui atteint les 11 points réglementaires remporte la période.
- Les 3 autres périodes s’enchaînent jusqu’à ce qu’une équipe en gagne 2.
Pourquoi est-ce une bonne raison de jouer au kin ball ?
Avec ce sport, les codes du jeu collectif sont complètement bouleversés. Le contact avec l’adversaire est inexistant et la confrontation ne se résume plus à du « un contre un ». Pour jouer, tous les membres de l’équipe sont indispensables : ce sport oblige chaque joueur à développer une coordination avec ses partenaires, à montrer un fair-play exemplaire et à cultiver un esprit d’équipe.
Au-delà de l’aspect technique, le kin ball s’adapte à toutes les personnes en âge de jouer à un jeu collectif. Selon le niveau d’expérience et les capacités physiques de chacun, il peut être pratiqué dans un club pour évoluer en niveau professionnel ou en amateur.
Si vous aimez les milieux clos et encadrés, référez-vous au site de la fédération kin ball de France pour avoir plus d’informations ! La position des clubs de kin ball reste toutefois concentrée à l’ouest et au sud-ouest du pays.
La plupart des sports innovants à tester en été offrent des avantages que d’autres sports classiques ne possèdent pas : la multiplicité et l’ouverture non codée des grands espaces ouverts au public. Profiter des jardins et de la plage pour tenter une expérience unique sur le gazon ou dans le sable n’aura jamais été aussi plaisant ! Pour le kin ball, il est conseillé d’investir dans des genouillères si vous comptez vraiment utiliser toutes les parties du corps.
Enfin, vous pouvez agir sur les variantes pédagogiques, comme le nombre de joueurs, les périodes, la délimitation du terrain, le matériel, etc. Vous pouvez les modifier à votre goût mais gardez toujours à l’esprit les règles du jeu !
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2. Le poull ball, une activité mixte et fun accessible à tous
La naissance du poull ball
Le poull ball vient du nom de son inventeur, François Poull, qui est professeur d’éducation physique en Belgique. Lors d’une interview, il raconte l’origine de son sport :
« L’idée m’est venue lors d’une formation sur le kin ball en 2008. Mon objectif était d’amener un maximum d’élèves à prendre part au jeu, forts ou faibles. J’ai essayé de tirer le meilleur de tous les sports que je connaissais pour garder le meilleur ».
François Poull souhaitait faire découvrir son sport pour déclencher le goût de l’activité physique chez les jeunes. Aujourd’hui, le poull ball a déjà fait son chemin dans plusieurs centaines d’écoles et s’est exporté à l’étranger, y compris en France.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que cela fonctionne car plusieurs communautés de joueurs se sont rassemblées. Selon son créateur, il est plus facile de pratiquer le poull ball contrairement à un jeu collectif traditionnel nécessitant des compétences particulières, comme le football ou le basketball.
Les conditions pour pouvoir jouer à ce sport
Pour jouer à cette activité fun, voici ce dont vous avez besoin :
- Un terrain rectangulaire ;
- 2 équipes mixtes de 5 joueurs ;
- 1 arbitre ;
- 1 ballon de poull ball d’un diamètre de 55 cm ;
- 2 cubes de 50 centimètres carrés ;
- 2 supports de 150 cm de haut avec une base carrée ;
- Des chasubles.
Vous pouvez juste noter que la surface de jeu idéale est le terrain de basket car les anneaux tracés au sol correspondent à la zone interdite des cubes. De plus, les deux équipes n’ont pas l’obligation de toucher les deux cubes pour gagner la partie : un seul suffit.
Maintenant que vous connaissez le matériel, il est temps de passer au but du jeu. Pour gagner le match, il faut remporter 3 sets. Chaque set est composé de 7 points. Pour en obtenir, vous devez renverser un des deux cubes de son socle avec le ballon. À chaque point marqué, il y a une remise au centre avec une balle lancée dans les airs.
Plusieurs règles sont strictes :
- Le possesseur du ballon ne peut pas courir mais il peut faire 3 pas au maximum.
- Celui ou celle qui a la balle ne doit pas la conserver pendant plus de 5 secondes.
- Un minimum de 3 passes est imposé avant de tirer sur une cible (le cube).
- Il est interdit de dribbler et de rentrer dans la zone du cube avec le ballon.
- Il doit y avoir une absence de contact entre le porteur et les défenseurs.
Toute transgression à ces règles entraîne inévitablement une faute. À l’inverse, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise manière de lancer le ballon. La technique est libre mais des pénalités peuvent être appliquées en fonction du contexte de jeu. Pour plus de détails, rendez-vous sur le site officiel du poull ball.
Pourquoi est-il intéressant de jouer au poull ball ?
Il est original car les règles sont simples et il reste basé sur l’amusement. Aucun joueur n’a plus de compétences qu’un autre et c’est précisément ce que l’auteur souhaite développer. Les filles et les garçons jouent ensemble et sont motivés dans leurs pratiques. Le fair-play et l’esprit d‘équipe sont essentiels : les contestations ne sont pas possibles.
Concernant les variantes, le matériel peut tout aussi bien être adapté à des joueurs débutants, amateurs et confirmés. Voici quelques paramètres :
- Vous pouvez convier un minimum de 6 personnes.
- Remplacez les deux poteaux avec un socle par des tabourets ou des chaises hautes.
- Pour les cubes, utilisez des objets de toute taille à condition qu’ils soient légers, stables et fabriqués en plastique afin d’éviter la casse.
- Le ballon de baudruche est le seul objet qui doit être conservé pour éviter tout risque de blessure. Seule la dimension peut être changée si vous voulez avoir une autre expérience de jeu.
- Quant au terrain, vous avez le choix : le jardin, les grands espaces verts, la plage et même la glace pour les plus téméraires.
Vous avez désormais tous les éléments pour faire une belle partie ! N’hésitez pas à revoir les règles plusieurs fois avant de vous lancer ! Regardez aussi cette petite vidéo de poull ball pour vous donner un aperçu.
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3. Le tchoukball, un sport collectif où l’agressivité est bannie
L’histoire et l’apparition du tchoukball
Le docteur genevois, Hermann Brandt, est le fondateur du tchoukball à partir des années 1960. Avant sa création, il a étudié l’impact des sports populaires dans la société et a remarqué que la plupart des participants étaient ressortis avec des traumatismes plus ou moins graves. Pour lui, le constat est à la fois simple et dramatique : les joueurs subissent un trop grand nombre d’agressions physiques qui mettent à mal leurs performances et l’intégrité de leurs corps.
Depuis, Hermann Brandt a consacré du temps à des recherches et des expériences. Il souhaite « contribuer à l’édification d’une société humaine valable » au lieu de fabriquer de futurs champions sans état d’âme. Plusieurs autorités gouvernementales ont pris en compte la valeur de ses travaux et l’ont élevé au rang de médecin émérite du sport. Ces réflexions l’ont donc mené à créer le fameux tchoukball, un mélange entre la pelote basque, le handball et le volley-ball.
À la fin des années 1960, il rencontre un certain Michel Favre. Ce dernier a collaboré avec lui dans l’élaboration et la transmission du tchoukball. Si vous voulez en savoir davantage, vous trouverez une belle collection d’archives, rassemblée par le co-inventeur, disponible sur le site Swiss Tchoukball.
Comment joue-t-on ?
Pour pratiquer officiellement le tchoukball, il faudra :
- Un terrain de 26 m de long sur 15 m de large ;
- 2 équipes de 7 joueurs ;
- 1 arbitre ;
- 2 cadres de renvoi (trampolines inclinés à 60 degrés) ;
- 1 ballon « tchoukball » ;
- Des genouillères ;
- Un chronomètre.
Pour gagner, les membres d’une équipe doivent lancer le ballon dans le cadre et faire en sorte qu’il touche le sol avant que l’autre équipe ne le rattrape. Le nombre de points est attribué en fonction de plusieurs contextes de jeu.
Au début de la partie, les cadres sont placés sur les extrémités du terrain. Un demi-cercle de 3 mètres de rayon doit être tracé pour chaque cadre afin de délimiter une zone interdite. Le ballon doit faire un poids réglementaire situé entre 325 g et 475 g, ainsi qu’une circonférence comprise entre 54 cm et 60 cm. Une partie de tchoukball dure 45 minutes : elle est divisée en 3 périodes égales de 15 minutes.
Les contraintes sont assez nombreuses : il est donc nécessaire de bien les étudier avant de jouer. Vous trouverez toutes les informations utiles sur le site de la fédération internationale de tchoukball.
Pourquoi le tchoukball plaît-il à beaucoup de personnes ?
Vous l’avez sans doute deviné : le tchoukball ne ressemble pas aux autres sports traditionnels car son point fort réside dans l’absence totale de contact physique. Chaque joueur peut s’exprimer sur le terrain sans avoir la crainte d’être interrompu, bousculé ou blessé par un membre de l’équipe adverse. Toutefois, c’est un sport qui demande de l’anticipation et une cohésion d’équipe, notamment au cours de la réception du ballon.
D’un point de vue pédagogique, c’est un excellent levier d’apprentissage pour celles et ceux qui veulent démarrer ou reprendre une activité physique. Il peut être pratiqué à tous les niveaux. Une liste des clubs est répertoriée sur le site de la fédération française de tchoukball.
N’oubliez pas que vous pouvez appliquer quelques variables pour rendre ce sport plus simple et ludique, en fonction des paramètres disponibles (nombre de joueurs, durée de la partie, espace et surface de jeu, etc). Néanmoins, vous devez conserver les cadres et le ballon pour assurer l’efficacité des rebonds.
Si cette description vous a donné envie, il n’y a plus qu’à rassembler un beau petit monde et le matériel adéquat, en gardant un œil sur les règles !
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4. Le speedball, un sport complet et polyvalent
Les débuts du speedball
Nous partons au pays des pharaons pour découvrir le speedball. C’est effectivement en Égypte que Mohamed Lofty lance officiellement ce sport, en 1961. Il s’est inspiré du tetherball qui est pratiqué en Amérique du Nord.
Mohamed Lofty souhaitait réduire la perte de temps dans le ramassage des balles, pendant l’apprentissage du tennis avec son enfant. Pour se faire, il décide d’attacher une balle de tennis à un poteau afin que les entraînements soient plus profitables. Plus tard, son concept est exporté à travers le globe et rencontre un immense succès.
Le speedball est un des sports innovants qui s’est démocratisé très rapidement. Il est présent officiellement dans 26 pays et compte de nombreux participants (17 d’entre eux le pratiquent à un niveau de compétition).
Les paramètres réglementaires
Pour jouer au speedball, voici le matériel dont vous avez besoin :
- Un terrain de 8 m de long sur 5 m de large.
- Un mât d’une hauteur de 170 cm (lesté de 50 kg et fixé avec une bobine au sommet).
- Un fil en nylon d’une longueur de 150 cm, dont les extrémités sont fixées par une balle creuse et un anneau.
- Une raquette en plastique, tamisée, non cordée et équipée d’une dragonne.
Le speedball a la particularité de comprendre 4 modes de jeu : le super-solo, le simple, le double et le relais. Dans le cas présent, nous allons détailler le premier d’entre eux.
Le super-solo ou le jeu individuel consiste à frapper la balle le plus de fois en exécutant quatre mouvements différents dans le temps imparti. Pour obtenir le point, la balle doit effectuer un demi-tour autour de l’axe de rotation. Les modes de frappe peuvent être réalisés dans n’importe quel ordre sachant qu’il y a :
- la main droite (coup droit et revers) ;
- la main gauche (coup droit et revers) ;
- les deux mains en coup droit ;
- les deux mains en revers.
À la fin des quatre mouvements, le joueur prend connaissance du nombre de coups réalisés, selon le respect des contraintes. Pour plus de détails, vous pouvez consulter les règles du speedball français.
Les points positifs du speedball
Cette activité peut être effectuée à tous les niveaux : tout dépend de l’utilisation faite par les joueurs. Les professionnels recommandent un matériel de qualité pour garantir une expérience de jeu optimale et prolongée.
Remarqué pour sa polyvalence, le speedball reste avant tout un sport intense et énergique. Les paramètres peuvent être variés en fonction du mode de jeu et du nombre de personnes sur le terrain. Ceci permet de :
- Travailler plus finement une partie du corps ;
- Déterminer la trajectoire et la vitesse de la balle ;
- Varier les points d’appuis.
Le speedball n’a pas forcément besoin d’être mobile à 100 %. Les personnes en situation de handicap moteur peuvent prendre leurs aises et adopter leur propre style de jeu. Vous pouvez aussi jouer dans le jardin ou sur le bord d’une plage, en prenant soin d’évaluer la zone afin d’éviter les accidents.
La proportion des joueurs étant relativement faible en France, le speedball reste encore méconnu. C’est la raison pour laquelle l’AFSP (Association Française pour le Développement du Speedball) souhaite étendre ce sport et le faire découvrir à un large public.
Ce sport vous donne envie ? Il est temps de frapper quelques balles ! N’hésitez pas à reprendre les règles pas à pas, à bien sélectionner le type de matériel et à regarder quelques petites vidéos disponibles sur le site de l’association française de speedball.
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5. Le bumball, une activité sportive atypique et expressive
L’introduction du bumball
Il existe un sport de balle où les mains, les bras, les jambes et les pieds sont proscrits, mais uniquement à la réception : il s’agit du bumball. Créé par Soren Maribo, à la fin des années 2010, le bumball voit le jour au Danemark.
Ressemblant au handball, il est caractérisé pour sa souplesse, sa liberté de jeu et sa dimension ludique. Il fait partie des sports innovants à ne pas avoir de règles codifiées mais il nécessite un matériel particulier, que vous ne trouverez pas dans les sports collectifs traditionnels.
En effet, les joueurs doivent se vêtir d’un maillot recouvert de bandes agrippantes, au niveau de la poitrine et au-dessus des fesses, pour attraper un ballon recouvert de scratchs. En les voyant à l’action, l’atmosphère est à la fois amusante et cocasse car personne ne s’imagine que ces parties du corps peuvent être sollicitées.
Quelles sont les consignes pour y jouer ?
Pour démarrer une partie de bumball, vous devez réunir :
- 2 équipes dont le nombre peut être ajusté (entre 4 et 12 joueurs) ;
- 1 arbitre ;
- Des chasubles de 2 couleurs munis de bandes agrippantes ;
- Un ballon en mousse enveloppé de scratchs ;
Une fois le matériel à disposition, le but du jeu est de passer le ballon à ses équipiers dans une zone adverse. Un match se déroule en 3 sets gagnants de 11 points avec un écart de 2 points, sans aucune limite de temps. Les deux réceptions autorisées pour marquer sont la poitrine (1 point) et le bas du dos (3 points). Celui ou celle qui possède le ballon doit respecter plusieurs contraintes en fonction des cas suivants.
En réceptionnant avec la poitrine :
- Iel détache le ballon et réalise une passe à la main.
- Iel peut réaliser un pied de pivot pour déjouer l’adversaire.
- Iel a 7 secondes pour le lancer à un membre de son équipe.
En attrapant le ballon avec la bande arrière située au dos :
- Iel a le droit de courir et se laisser prendre la balle par un membre de l’équipe ou un adversaire.
- Iel peut arrêter sa course et doit automatiquement réaliser une des actions décrites dans la première situation.
Le ballon est au sol :
- Il doit être récupéré avec la partie basse du dos, sans les mains.
- Une fois la balle saisie, il est possible de courir ou de rester sur place, avant d’effectuer une autre action.
En quoi le bumball est un sport étonnant et attirant ?
Outre son aspect divertissant, il n’y a pas besoin de pratiquer le bumball à un niveau professionnel. C’est un sport avant tout imaginé pour le loisir et la détente.
Le bumball est aussi remarqué sur plusieurs points :
- Il n’y a pas de terrain unique.
- C’est un sport mixte qui mise sur la coopération.
- Le corps est intégralement sollicité de haut en bas.
- Les variantes possibles offrent des expériences de jeu nombreuses.
- Les contacts physiques sont peu observés.
Il se démarque aussi dans son expression corporelle. Les pratiquants développent leur confiance et leur estime en adoptant de nouvelles postures de jeu. La finalité de ce sport réside dans le partage et la bonne humeur. Si vous voulez plus d’informations, cette fiche sur le bumball vous donnera les détails.
Ce sport vous plaît ? Il vous suffit de trouver un espace de jeu digne de ce nom, de regrouper plusieurs personnes et de l’essayer sans attendre ! Pour rappel, vous pouvez agir sur plusieurs paramètres et ajouter de nouvelles règles avant de commencer une partie. Retenez le matériel principal décrit précédemment et amusez-vous !
Nous voici à la fin de cet article consacré à ces 5 sports innovants à tester en été ! Il ne vous reste plus qu’à sélectionner une ou plusieurs activités, de trouver un club proche de chez vous ou de vous rendre dans un magasin dédié au sport. Si cela vous a plu, n’hésitez pas à partager l’article sur vos différents réseaux !
Article rédigé par Yves-Marie Hameaux
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Sources :
Casual Sports : https://conseils.casalsport.com/